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La contribution du sous-secteur de l’élevage est estimée à 6,73% du PIB. Une stratégie de développement a été élaborée en adéquation avec les axes stratégiques du plan Togo 2025.
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Si la production dans les différentes filières, notamment au niveau des volailles et des petits ruminants a sensiblement évolué grâce au PASA, avec une amélioration de 50% des revenus des éleveurs bénéficiaires de ce projet, le Togo enregistre toujours une situation déficitaire en produits carnés. Un déficit estimé à 45% par rapport aux besoins nationaux et ce, malgré une tendance évolutive et l’appui des acteurs publics et privés.
Une analyse du ministère sur la situation de référence de l’élevage amène à se rendre compte de ce que ce sous-secteur est encore fragile et caractérisé essentiellement par la survivance de méthodes, pratiques et techniques pastorales dépassées. En effet, 99,8% des éleveurs pratiquent l’élevage traditionnel ; seulement 0,2% pratiquent le type amélioré ; 16,7% des éleveurs administrent des soins vétérinaires à leurs animaux et 18,9% des éleveurs vaccinent leurs animaux. En matière de taux de couverture vaccinale, l’étude révèle que : 12,5% des ovins, 18,7% des caprins et 13,5% des volailles sont vaccinés. Les animaux de race locale sont majoritaires comparativement à celle améliorée. En effet, une faible proportion (0,5%) des caprins est de race améliorée contre 99,5% de race locale. Il y a 2,8% d’ovins de race améliorée contre 97,2% de race locale, Quant aux volailles, 1% de race améliorée pour 99% de race locale.
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Cependant, d’ici fin 2023, la production annuelle de viande de volaille devrait presque tripler à 60 000 tonnes, celle d’œufs, actuellement autour de 188 millions, est attendue à 250 millions. Des perspectives positives qui constituent le prolongement d’une dynamique de croissance observée depuis 2010. En effet, la filière avicole peut se targuer d’avoir enregistré de 2010 à 2019, une hausse de plus de 200% de l’effectif de la volaille, qui est passé de plus de 8 millions de têtes à plus de 26 millions. A travers le PASA financé par la Banque Mondiale, le petit élevage familial prend désormais une dimension entrepreneuriale où la rentabilité de l’affaire est garantie au promoteur. La filière avicole est identifiée dans le PND 2018-2022 comme une filière stratégique pour promouvoir des industries de transformation de viandes et créer des emplois massifs au niveau national. Selon les projections, elle pourrait générer jusqu’à 150 000 emplois à l’horizon 2025.
Sur le volet production animale, l’Institut de Formation en Alternance pour le Développement (IFAD) de Barkoissi se veut ainsi une opportunité pour développer plusieurs filières animales. Le secteur a vu naître des zones d’aménagement pour la production bovine (ZAPB). L’État travaille à créer et à renforcer une chaîne de valeur autour de cette production. Ainsi, des aires d’abattage de bétails sont créées pour la transformation des produits carnés ou encore un projet d’insémination artificielle est mis en œuvre pour la promotion de la race de vaches laitières améliorées. La mise en œuvre de ce projet devrait contribuer à améliorer la couverture du Togo en ressources laitières et, inversement, à réduire sa quantité de lait importée, qui est estimée à 20 000 tonnes par an.
Pour relever les défis et sortir notre pays de sa dépendance à l’exportation des produits carnés, le Ministère a réalisé en mars 2021 les états généraux du secteur de l’élevage à travers des ateliers régionaux. Une stratégie de développement du secteur élevage au Togo est en cours d’élaboration en adéquation avec les axes stratégiques de la feuille de route gouvernementale Togo 2020-2025 et le programme régional d’investissement et de développement de l’élevage en Afrique de l’Ouest.
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