Espace non dispo
Le format du fichier n’est pas reconnu
Réserver cet espace publicitaire
communiqué, interview, parrainage
Choisir cet espace publicitaire
et cliquer ici pour transmettre
un fichier d’annonce
un fichier
ou
Transmettre ici
un fichier

Pour passer d’un taux d’électrification de 58% à un accès universel à une énergie propre et fiable à l’horizon 2030, le gouvernement togolais multiplie les initiatives.
Espace non dispo
Le format du fichier n’est pas reconnu
Réserver cet espace publicitaire
communiqué, interview, parrainage
Choisir cet espace publicitaire
et cliquer ici pour transmettre
un fichier d’annonce
un fichier
ou
Transmettre ici
un fichier
Au niveau national, selon les résultats du quatrième recensement général de la population et de l’habitat de novembre 2010, 37,7% de Togolais vivaient en ville contre 25,2% en 1981. Les projections indiquent, au regard du rythme actuel d’accroissement urbain, que 50% de la population résidera en milieu urbain en 2028. Ce taux passera à 58% en 2050 selon le rapport des Nations Unies sur l’état de l’urbanisation (UNDESA, 2014). Ceci se traduira par une multiplication par trois de la population urbaine entre 2014 et 2050 ; passant de 2,7 à 8,4 millions d’habitants, avec une pression toujours plus forte sur les infrastructures disponibles. Les défis majeurs, auxquels le Togo fait face, incluent donc l’accroissement des problèmes environnementaux avec les changements climatiques, sociétaux avec des sollicitations de plus en plus élevées et d’établissements humains. Ces problèmes sont susceptibles d’aggravation au fur et à mesure que la croissance urbaine s’accélère. La mission du gouvernement est d’œuvrer pour un développement urbain durable afin d’améliorer la qualité de vie des habitants. Il promeut des villes viables et, en particulier, l’accès à des logements décents, surtout pour les couches de la population à revenus faibles et intermédiaires. Les priorités vont également à l’aménagement, à la construction et à la réhabilitation des ouvrages d’assainissement, ainsi qu’à la sécurisation du foncier.
Se positionnant comme un hub logistique, Lomé doit conforter sa stature de centre d’affaires dans la sous-région, le gouvernement investit massivement dans les infrastructures routières et aéroportuaires.
À cet effet, deux voies de contournement et trois axes routiers internationaux ont été construits ou entièrement rénovés, ainsi que deux ports secs. La voirie interne du Port autonome de Lomé (PAL) a été rénovée et sa capacité augmentée à 7 000 conteneurs EVP [équivalent vingt pieds]. Parmi les toutes dernières évolutions, notons aussi la digitalisation des activités du PAL, la délocalisation du port de pêche, ainsi que la création d’une plateforme logistique multiservice qui permet d’accélérer le traitement des marchandises et d’accroître le trafic.
Espace non dispo
Le format du fichier n’est pas reconnu
Réserver cet espace publicitaire
communiqué, interview, parrainage
Choisir cet espace publicitaire
et cliquer ici pour transmettre
un fichier d’annonce
un fichier
ou
Transmettre ici
un fichier
Concernant les zones d’activités, citons l’aménagement du marché du port de pêche, la création de la Plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA), le poste de contrôle juxtaposé de Noépé à la frontière du Togo et du Ghana et le projet de développement rural de la plaine de Djagblé en périphérie de Lomé.
Le gouvernement se mobilise pour fluidifier la procédure de création du titre foncier. L’ossature du régime foncier – actualisée par la loi du 14 juin 2018 – permet à l’état de se concentrer sur la réforme de la politique foncière agricole, dont un avant-projet de loi est en cours d’élaboration. Il est en train de procéder à la revue cartographique, à la mise en place d’un système d’information foncière et la création des Zones d’aménagement agricoles planifiées (Zaap).
LE RENFORCEMENT ET L’INTERCONNEXION DES RÉSEAUX
Le Togo ambitionne de booster significativement sa dépendance aux énergies renouvelables en faisant passer la production de 34,7 MW à 264,7 MW en termes de capacité installée à l’horizon 2025. Le pays a ouvert d’importants chantiers énergétiques en ce sens pour promouvoir l’énergie solaire, afin de multiplier par 7 sa production d’énergies vertes et durable. Une performance qui devrait lui permettre d’atteindre l’objectif des 50% de part du renouvelable dans son mix énergétique.
Le solaire n’est toutefois pas la seule ressource sur laquelle les autorités togolaises comptent pour relever le défi énergétique. L’option d’exploiter le potentiel hydroélectrique est également étudiée.
Alors que le défi se pose en termes de diversification des sources d’énergie avec en ligne de mire 50% de production du renouvelable, le Togo devrait également mobiliser les ressources pour rendre l’accès à l’énergie universel à l’horizon 2030, en ligne avec la stratégie nationale d’électrification. Ceci passera par une combinaison des solutions nouvelles (mini et off-grid) avec l’extension du réseau électrique classique.
Espace non dispo
Le format du fichier n’est pas reconnu
Réserver cet espace publicitaire
communiqué, interview, parrainage
Choisir cet espace publicitaire
et cliquer ici pour transmettre
un fichier d’annonce
un fichier
ou
Transmettre ici
un fichier