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Depuis 2017, le Togo a engagé une réforme de son système sanitaire afin d’assainir le financement des hôpitaux publics et améliorer la qualité des soins.
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Le gouvernement a lancé en 2017, dans cinq formations sanitaires publiques, un système de contractualisation pour assainir la gestion financière des centres hospitaliers. Désormais, les hôpitaux ne sont plus gérés uniquement par l’Etat mais par des acteurs privés qui sont associés sur la base d’un partenariat public-privé.
Afin de garantir des soins de qualité à la population, la contractualisation a atteint sa vitesse de croisière, soutenue par de premiers résultats éloquents. La formation sanitaire reste publique, l’Etat continue de payer ses agents et les équipements. Une entité non-étatique est recrutée avec pour cahier des charges de mettre en place les mécanismes d’une bonne gestion. Un comité est installé au sein de la formation sanitaire. Il comprend le contractant, la direction de la formation, les syndicats, les représentants des corps de métier et les divers acteurs impliqués. Les actions et dépenses à effectuer sont décidées par ce comité. Le ministère de la santé et de l’hygiène publique, qui reste le niveau central, veille à la régularité et à la pertinence des actions et des dépenses.
Outre les actions déjà mises en œuvre ou prévues dans le cadre de la riposte à la Covid-19, le gouvernement s’est engagé à initier de nombreux projets. Sur le plan infrastructurel, des projets de modernisation des Centres hospitaliers régionaux (CHR) sont prévus, tout comme la réhabilitation des Centres de santé communautaires (CSC), la construction de 6 nouveaux Centres de santé mère-enfant (CSME), de 100 Centres médico-sociaux (CMS) et d’un Centre national de lutte contre le cancer (CNLC). En ce qui concerne la réhabilitation et l’équipement des hôpitaux, les CHU et les CHR vont être dotés de scanners, sous forme d’achats groupés.
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En 2010, le Togo a adhéré au Partenariat International pour la Santé (IHP+, aujourd’hui CSU2030), ce qui a fourni aux parties prenantes du secteur de la santé des moyens nouveaux pour leur travail de renforcement des capacités du système de santé. Le ministère de la Santé a mis en œuvre une Politique nationale de santé et une analyse de situation généralisée et participative a conduit à l’élaboration d’un Plan National de Santé (PNDS).
Concernant la planification familiale, les autorités togolaises ont adhéré aux engagements PF 2030. Les six engagements pris par le gouvernement s’articulent autour de l’augmentation du taux de prévalence contraceptive moderne chez les femmes en union de 23,1% en 2020 à 32% en 2026 et chez toutes les femmes de 20,4% en 2020 à 29,5% en 2026. Le 2ème engagement porte sur l’augmentation de la subvention de l’Etat de 50% en 2022 et de 25% à partir 2023 jusqu’à 2026. Le troisième porte sur la garantie de l’accès des adolescents et jeunes à des informations complètes et services de qualité adaptées à leur âge et à leur besoin. Le 4ème tient à la disponibilité continue des produits contraceptifs au niveau des points de prestations des services selon les politiques normes et protocoles. Le 5ème est une coordination intersectorielle des interventions en matière de planification et l’utilisation des données probantes. Enfin, le 6ème engagement consiste en la mobilisation des ressources financières par la société civile togolaise intervenant dans la santé, la reproduction et la planification familiale.
En novembre 2021, la Banque Mondiale a procédé au lancement d’un projet de 70 millions $ pour l’amélioration de la qualité de la santé et offrir une assurance maladie universelle à 60% de la population togolaise.
Le président Faure Gnassingbé, qui a placé son nouveau mandat sous le sceau de la préservation et de la consolidation des acquis, entend améliorer significativement le système sanitaire et assurer une santé de qualité pour les Togolais, en particulier pour les couches vulnérables.
Dans le domaine de la protection sociale, un montant de 91,7 milliards de francs CFA a été alloué au secteur de la santé, soit 7% du montant alloué aux ministères et institutions, pour l’exercice 2022. Ce montant servira à garantir la couverture santé universelle et l’accès aux services sanitaires à tous.
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Le Togo, 1er pays africain à mettre fin à la maladie du sommeil
En 2020, le Togo a reçu la validation de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour avoir éliminé la trypanosomiase humaine africaine ou « maladie du sommeil » comme problème de santé publique, devenant ainsi le premier pays d’Afrique à franchir cette étape.
La maladie du sommeil est causée par des parasites transmis par des mouches tsé-tsé infectées et n’est présente que dans 36 pays d’Afrique subsaharienne. Si elle n’est pas traitée, la maladie du sommeil est presque toujours mortelle. En 1995, environ 25 000 cas avaient été détectés, environ 300 000 cas étaient estimés être passés inaperçus et 60 millions de personnes étaient considérées comme étant à risque d’infection. En 2019, moins de 1000 cas ont été découverts. Le Togo n’a signalé aucun cas au cours des dix dernières années.
Cette réalisation du Togo intervient après plus de deux décennies d’engagement politique soutenu, de surveillance et de dépistage des cas. À partir de 2000, les responsables de la santé publique du pays ont mis en place des mesures de contrôle. En 2011, le pays a mis en place des sites de surveillance dans les hôpitaux des villes de Mango et de Tchamba, qui couvrent les principales zones à risque de la maladie. Depuis, les responsables de la santé publique ont maintenu une surveillance accrue de la maladie dans les zones endémiques et à risque.
Une collaboration mondiale dirigée par l’OMS a soutenu ces efforts en facilitant le don de médicaments et de ressources par les entreprises pharmaceutiques, ce qui a permis de renforcer les capacités locales et d’assurer la disponibilité constante des outils nécessaires pour lutter contre la maladie.
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