Espace non dispo
Le format du fichier n’est pas reconnu
Réserver cet espace publicitaire
communiqué, interview, parrainage
Choisir cet espace publicitaire
et cliquer ici pour transmettre
un fichier d’annonce
un fichier
ou
Transmettre ici
un fichier

Pour relancer sa filière coton, l’Etat mène une politique de privatisation et d’industrialisation du secteur afin de faire de « l’or blanc » une vraie source de revenus et d’emplois pour le pays.
Espace non dispo
Le format du fichier n’est pas reconnu
Réserver cet espace publicitaire
communiqué, interview, parrainage
Choisir cet espace publicitaire
et cliquer ici pour transmettre
un fichier d’annonce
un fichier
ou
Transmettre ici
un fichier
Cette filière ne contribue qu’à hauteur de 1 à 4,3% au PIB du pays et emploie indirectement moins de 500 000 personnes. Les productions sont en deçà des attentes. En effet, la filière a connu une baisse depuis la campagne 2018/2019. De 137 000 tonnes de production au cours de cette campagne, la production a baissé de 15,3% au cours de la campagne suivante. En 2020/2021, les productions ont enregistré encore une chute de 43%.
Pourtant, ce secteur agricole est particulièrement stratégique en matière de création de valeur et d’emplois, notamment pour les petits agriculteurs situés dans les régions du nord.
Espace non dispo
Le format du fichier n’est pas reconnu
Réserver cet espace publicitaire
communiqué, interview, parrainage
Choisir cet espace publicitaire
et cliquer ici pour transmettre
un fichier d’annonce
un fichier
ou
Transmettre ici
un fichier
Le Togo a fait le choix de la privatisation, en cédant 51% de ses parts de la Nouvelle société cotonnière du Togo (NSCT) au géant singapourien Olam en décembre 2020. Le groupement des producteurs locaux se partage 25% des actions et l’Etat en conserve 24%. Les perspectives pour l’ensemble de la filière seraient une production de 135 000 tonnes pour la nouvelle campagne et 225 000 tonnes d’ici à 2025.
La NSCT doit prendre en charge toutes les activités cotonnières dans le pays, de l’appui aux agriculteurs à la commercialisation, en passant par l’égrenage et la vente. Le prix d’achat de coton-graine sera hissé à 254 francs CFA/kg et la société va aider les agriculteurs en fournissant des engrais et en appuyant la mécanisation du secteur. Une usine implantée dans la zone industrielle d’Adétikopé, ambitionne de transformer sur place 5 000 tonnes de fibre dès 2022 et 25 000 tonnes ces trois prochaines années. Un véritable enjeu, car cette filière jouit d’un énorme potentiel avec la transformation locale.
Espace non dispo
Le format du fichier n’est pas reconnu
Réserver cet espace publicitaire
communiqué, interview, parrainage
Choisir cet espace publicitaire
et cliquer ici pour transmettre
un fichier d’annonce
un fichier
ou
Transmettre ici
un fichier