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Dans ce secteur qui emploie la majorité de la main-d’œuvre, le développement de la filière élevage pourrait offrir d’énormes opportunités pour satisfaire la demande en produits animaux et générer des recettes à l’export.
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Seule une superficie de 4,5 millions d’hectares est consacrée à l’élevage du bétail. Or, de vastes étendues de pâturages permettraient d’élever plus de 40 millions de têtes de gros bétail. Cependant, le cheptel national est très diversifié et dominé pondéralement par les caprins en termes de têtes d’animaux : 11% de bovins, 14% d’ovins, 15% de porcins et 60% de caprins.
La réhabilitation, la modernisation et le développement du domaine agro-industriel présidentiel N’Sele (DAIPN) de Lukelenge au Kasaï Oriental, financé à hauteur de 5 millions de dollars à travers le Fonds de Promotion de l’industrie (FPI), a relancé sa production dans la ville de Mbuji-Mayi située au centre du pays. Sa finalité est de faire de la ferme de Lukelenge, un modèle de projet agro industriel moderne. Elle commercialise sur le marché local des poulets de chair et plus de 180 000 œufs par semaine à des prix très accessibles. Grâce à un partenariat public-privé conclu entre le gouvernement congolais et la société israélienne LR group limited, le DAIPN a investi dans l’aviculture, l’agriculture et la production des aliments pour bétail. Chaque jour, le groupe LR- Group produit des aliments pour volailles à base du maïs et soja dont une partie est utilisée pour sa filière avicole et une autre vendue à d’autres fermiers.
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Les Grands Élevages de Katongola (Grelka) comptent un cheptel de 30 000 bovins qui paissent sur 450 000 hectares. Outre les actifs de Grelka, GoCongo inclut 3 000 hectares de cultures, une biscuiterie et des activités de transformation et de commercialisation de viande. Le groupe annonçait, en mars 2022, le rachat de la Pastorale du Haut-Lomami (PHL), le second acteur du secteur de l’élevage dans la région du Grand-Katanga possédant un cheptel bovin de 24 000 têtes sur un domaine de 70 000 hectares au nord de Kamina, chef-lieu de la province du Haut-Lomami. Avec cette acquisition, l’entreprise disposera désormais d’un troupeau de bovins de près de 56 000 têtes sur un territoire total de 73 000 hectares. Cet effectif d’envergure devrait aider la compagnie à renforcer ses activités de transformation de bétail, et stimuler la chaîne de valeur de la viande bovine dans le pays. Elle entend aussi porter le nombre annuel moyen des naissances à 15 000 veaux au cours des trois prochaines années contre 8 000 actuellement. Pour la République Démocratique du Congo, la création de ce holding constitue une chance. Alors que le pays se démène pour nourrir 80 millions d’habitants et maîtriser la progression des prix des denrées alimentaires, il doit également lutter contre la déforestation. Or, GoCongo a émis le souhait de se déployer en appliquant les principes du développement durable et aura notamment un volet consacré à la reforestation.
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