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Rédigée avec l’Organisation maritime internationale (OMI), le nouveau projet de Politique nationale de transport maritime (PNTM) s’articule autour de cinq axes dont la modernisation et la compétitivité des ports.
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Madagascar a un riche patrimoine maritime et marin avec 5 400 km de côtes, une vingtaine de ports maritimes répertoriés, environ 1 200 000 km² de Zone économique exclusive (ZEE), et plus de 2 millions de km² de Région de Recherche et Sauvetage (Search and Rescue Region).
Adaptée aux réalités du pays, la PNTM constituera une référence nationale et orientera les actions de l’Etat sur le long terme en indiquant d’une manière forte les lignes directrices précises et claires indispensables à la bonne gouvernance et à la régulation intégrée du secteur. Le principal objectif est que Madagascar puisse être plus compétitif au niveau international que ce soit en matière d’infrastructure portuaire, de personnels navigants ou encore de matériels de navigation.
Elle s’articule autour de cinq axes stratégiques : la gouvernance du transport maritime transparente, intègre, professionnelle et inclusive ; les ressources humaines compétentes au service du transport maritime ; des ports modernes, sûrs, compétitifs et de proximité ; des navires et navigation sûrs et sécuritaires ; un environnement propre et protégé des effets néfastes du transport maritime.
Avec cette nouvelle politique, Madagascar entend faire du secteur du transport maritime un des secteurs socioéconomiques leaders, afin de lui permettre d’assumer son insularité – 4ème plus grande île du monde – et d’asseoir sa notoriété au niveau régional et continental.
L’Ile de Madagascar possède dix-sept ports : Fort-Dauphin, Manakara, Mananjary, Toamasina, Sainte-Marie, Maroantsetra, Antalaha, Vohémar, Antsiranana, Port Saint-Louis, Nosy Be, Antsohihy, Mahajanga, Maintirano, Morondava, Morombe, Tuléar. Quatre d’entre eux sont classés « Port d’Intérêt National » : Antsiranana, Tuléar, Mahajanga et Toamasina. Ces derniers disposent d’infrastructures portuaires permettant la réalisation des opérations commerciales de chargement et de déchargement des navires au long cours
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La modernisation du port de Toamasina
Toamasina, l’ancienne Tamatave, affiche des ambitions essentielles au développement économique de Madagascar : abriter enfin le port moderne capable de répondre aux besoins commerciaux de la Grande Île et de jouer un rôle de plateforme de redistribution des marchandises à l’échelle régionale.
Les travaux qui ont démarré en avril 2018 respectent le calendrier établi. La première phase doit durer trente mois, à l’issue desquels le port réceptionnera un nouveau terre-plein de dix hectares gagnés sur le récif et destinés, à terme, au stockage de conteneurs.
La construction d’un nouveau terminal de 470 mètres de long, ainsi que la réhabilitation des anciens quais du môle C, le tout porté à un tirant d’eau de 16 mètres de profondeur, permettra de traiter chaque année près de 20 millions
de t de marchandises diverses, dont plus d’un demi-million de conteneurs, dans la foulée de l’arrivée, en 2023, du premier portique jamais installé sur ses quais. L’ensemble de ces infrastructures doit être terminé pour 2025 en triplant les capacités de stockage et de manutention.
Voulant également développer les activités dans le domaine des croisières et du trafic roulier, le premier port malgache disposera alors des moyens maritimes lui permettant de servir au mieux le marché domestique.
Dans le cadre du projet Antananarivo-Toamasina-Madagascar (Tatom), des études ont été lancées portant sur la construction d’une autoroute de contournement de la ville portuaire, ainsi que sur la réfection et l’élargissement de la RN2 qui rallie la capitale malgache.
L’augmentation des trafics conteneurisés qui a dépassé en 2019 les sept millions de boîtes dans la sous-région, suscite l’intérêt des principales compagnies maritimes afin d’améliorer leur desserte de la zone en s’appuyant sur la plateforme de transbordement la mieux adaptée aux spécificités de leurs trafics.
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