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Le secteur minier représente un pilier de l’émergence de Madagascar. Avec des actions conjuguées avec les objectifs sectoriels de la Politique Générale de l’Etat, un défi de taille est lancé par le Gouvernement afin que ce secteur puisse renouveler l’apport de retombées palpables à tous les niveaux, aussi bien sur le plan national qu’international, pour le développement industriel.
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Par le passé, Madagascar était essentiellement un pays d’artisanat minier, activité presque entièrement informelle mais loin d’être marginale pour l’économie du pays. Il est connu dans le monde entier pour ses pierres précieuses et semi-précieuses : saphir, rubis, aigue-marine, tourmaline, topaze, améthyste, émeraude, etc. A la fin des années 1990, les ruées sur le saphir et le rubis, symbolisés par l’apparition subite de nouvelles cités minières à Ilakaka ou Sakaraha, ont fait du pays l’un des plus grands producteurs au monde de ces gemmes de couleur. Les investissements miniers représentaient plus de 80% des IDE en 2009 et 2010, soit respectivement 1.08 et 0.65 milliard de dollars.
Le lancement récent des mégaprojets, Qit Madagascar Minerals (QMM) et Ambatovy, a amorcé un changement d’échelle en augmentant son importance stratégique. L’arrivée de ces deux acteurs industriels a représenté un niveau d’investissement de l’ordre de plusieurs milliards de dollars. Madagascar a connu un développement majeur avec le lancement de deux projets industriels de classe mondiale.
Tout d’abord, l’exploitation d’ilménite (d’une teneur de 60% en dioxyde de titane lui confère une qualité supérieure) et de zirsill (mélange de zircon et d’ilménite) à Tolagnaro (Fort Dauphin), lancée en 2009 par la société QMM, détenue à 80% par Rio Tinto et à 20% par l’Etat malgache, fruit d’un investissement global de 1,1 Milliard de dollars US.
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Puis, l’exploitation de nickel et de cobalt ainsi que de sulfate d’ammonium, sous-produit du raffinage, lancée fin 2012 par le Projet Ambatovy. À Moramanga à l’Est, Ambatovy exploite l’une des plus importantes mines de nickel latéritique du monde. Un investissement total estimé à 8 milliards de dollars (mine, pipeline et raffinerie près du port de Tamatave). La joint-venture est détenue par trois actionnaires : Sherritt International Corporation, Promoteur du Projet, Sumitomo Corporation, et Korea Resources Corporation. En mars 2020, la compagnie minière canadienne a annoncé qu’elle quittait la coentreprise Ambatovy. Sherritt a décidé de transférer à ses deux partenaires sa participation de 12% dans l’usine de nickel, ramenant ainsi l’actionnariat de Sumitomo Corporation à 54.18% et de Kores à 45.82%. En 2019, le projet Ambatovy a produit 33 733 tonnes de nickel raffiné et 2 900 tonnes de cobalt raffiné. 3 000 tonnes de nickel sont à produire au cours du premier trimestre de l’année 2021, tel en est l’objectif de par les conséquences de la crise du Covid-19. Notons qu’en pleine phase opérationnelle, la production s’élèvera à 60 000 tonnes de nickel, 5 600 tonnes de cobalt raffinés et à 210 000 tonnes de sulfate d’ammonium (engrais).
Certains gisements pourraient donner lieu à un développement à moyen terme tels l’ilménite de la côte Est et de Tuléar, le charbon de Sakoa, l’or de Betsiaka et Maevatanana, le fer de Soalala, la Bauxite de Manantenina et les terres rares d’Ampasindava et Fotadrevo.
Pour le projet de sables minéraux de Toliara, la compagnie minière Base Ressources ne devrait pas prendre de décision finale d’investissement avant septembre 2021. Depuis la suspension des activités à Toliara en novembre 2019, les discussions se poursuivent. Si la décision finale d’investissement est positive, la construction du projet Toliara devrait durer 26 mois et les premières expéditions de minéraux commenceront fin 2023.
Du côté de la fiscalité, l’État envisage de fixer des taux variables pour la redevance minière en fonction de la rentabilité des produits exploités, au lieu du taux unique actuel de 2%, qui s’applique quel que soit le minerai exploité.
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