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Le secteur de l’électricité est libéralisé depuis 1999, favorisant la libre concurrence pour la production et installant un régulateur. Le taux national d’accès à l’électricité est de 15% et de seulement 5,21% en milieu rural. L’appui de la communauté internationale renforce la dynamique du secteur et la sécurisation des investissements.
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De nombreux secteurs tels le tourisme, l’agriculture, l’agroalimentaire ou les télécoms attendent le développement du secteur pour renforcer leur croissance. Pour les entreprises, le délestage est une source de surcoût, les coupures obligeant les opérateurs économiques à recourir à des groupes électrogènes. Par ailleurs, le coût énergétique à Madagascar, l’un des plus chers d’Afrique, porte un coup à la compétitivité de Madagascar en tant que destination des investissements. L’énergie instable et coûteuse reste un frein aux investissements. Or, Madagascar dispose d’un potentiel considérable d’énergie renouvelable (hydroélectrique, solaire, éolienne) pas encore suffisamment mis en valeur. Dans le cadre de la Politique Générale de l’Etat (PGE) et du Plan national pour l’Emergence de Madagascar (PEM), il est prévu d’atteindre un taux d’électrification de 50% en 2023 et de 70% en 2030.
L’accès de tous à des services énergétiques fiables, durables et abordables figure en bonne place parmi les dix-sept objectifs retenus dans la Nouvelle Politique Energétique (NPE) de 2015, qui a donné le cadre et les objectifs de déploiement des énergies renouvelables. Depuis 2017, le nouveau Code de l’Electricité vient clôturer une simplification des démarches et le renforcement de la libéralisation du marché, notamment sur le transport et la distribution.
En développant son hydroélectricité, Madagascar diminue sa dépendance aux énergies fossiles dont le coût d’importation pèse significativement sur l’économie du pays et la viabilité financière de la JIRAMA, la compagnie nationale d’eau et d’électricité.
A travers le ministère en charge de l’énergie, l’Agence de Développement de l’Electrification Rurale (ADER) met en œuvre la politique du sous-secteur électricité en milieu rural. L’ADER développe des projets issus des plans directeurs indicatifs dans les 22 régions. Il promeut les sources d’énergie alternatives viables économiquement, compétitives et plus efficaces pour desservir les ménages et les unités de production tout en développant le système de partenariat public-privé en mobilisant toutes les ressources financières nécessaires pour financer les investissements.
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LE RENFORCEMENT ET L’INTERCONNEXION DES RÉSEAUX Le Projet d’Interconnexion et de Renforcement des Réseaux de Transport d’Energie Electrique à Madagascar (PRIRTEM), prévoit l’électrification de localités afin d’atteindre le taux d’électrification national de 70% d’ici l’année 2030.
Le PRIRTEM vise l’interconnexion des trois grands réseaux électriques : Antananarivo, Toamasina, Fianarantsoa. La BAD finance à hauteur de 32,5 millions EUR la phase 1 (PRIRTEM-1) dont l’objectif est de le renforcement et l’interconnexion des deux réseaux interconnectés d’Antananarivo et de Toamasina et l’électrification des localités et zones rurales le long de la RN 2. Le projet estimé à 203 millions EUR est également cofinancé par l’UE, la BEI, la KOXEIM (Kanu Overseas Exim) et le Gouvernement malgache. Sa mise en œuvre doit durer 48 mois.
La ligne électrique à 220kV de 267km entre Antananarivo et Toamasina traversera trois régions. D’une capacité de 120MW avec l’électrification des localités rurales le long du corridor de la ligne haute tension, elle permettra de fiabiliser la fourniture d’électricité, tout en facilitant le développement de grands ouvrages hydroélectriques.
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