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Le Gabon est un Etat membre de la CIMA de même que le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Congo, la Guinée Bissau, la Guinée Equatoriale, le Mali, le Niger, la République Centrafricaine, le Sénégal, le Tchad et le Togo.
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Ayant son siège à Libreville, la Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurances (CIMA) est un exemple unique d’intégration de la régulation et de la supervision de l’industrie des assurances regroupant 14 pays d’Afrique de l’ouest et du centre.
La mission de la CIMA est de travailler au développement sain et harmonieux de l’industrie des assurances en assurant la protection des assurés et bénéficiaires de contrats et la stabilité financière des économies. Ce traité a adopté un code des assurances unique, englobant les règles du contrat d’assurance et les règles applicables aux acteurs : assureurs, réassureurs, intermédiaires d’assurance.
La CIMA, dans sa conception du contrôle des compagnies, tient beaucoup aux respects des trois piliers : engagements correctement évalués, actifs suffisants et de bonne qualité pour les couvrir et la capacité de disposer d’une marge de solvabilité pour gérer les éventuels évènements exceptionnels (dérive des engagements, baisse brutale des actifs, une réassurance non adaptée ou une tarification non appropriée). Ce souhait de maintenir l’équilibre technico-financier a donné naissance à une succession de réformes en zone CIMA.
L’année 2022 pourrait marquer un pas décisif pour la relance de l’activité dans le secteur d’assurance en Afrique centrale et de l’ouest à travers la digitalisation des procédures pour les quatorze pays membres de la Conférence interafricaine des marchés d’assurance (CIMA).
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Avec un faible taux de pénétration de moins de 2% d’assurance, la zone CIMA ne manque pourtant pas de potentiel pour se rapprocher de la moyenne mondiale qui se situe autour de 7%. L’un des leviers sur lesquels comptent les assureurs pour améliorer la couverture sociale passe par la dématérialisation des services d’assurances, ce qui pourrait permettre de toucher un plus grand nombre de personnes, en l’occurrence, les couches défavorisées qui n’ont pas accès aux services classiques d’assurances.
30ans après sa mise en place, le bilan de l’initiative CIMA a à son actif d’importantes réalisations. Le Code CIMA qui institue la réglementation unique de la conférence est disponible, toujours actualisé et largement partagé. Cet important recueil de tous les textes applicables en matière assurancielle est en vigueur depuis 1994.
Sur le plan statistique : plus de 200 sociétés ont été agréées dont 176 restent en activité ; Au cours de l’exercice 2020, le marché enregistre un chiffre d’affaires de 1 363 milliards FCFA. Des sinistres réglés pour près de 750 milliards FCFA, les provisions techniques et mathématiques évaluées à 2 276 milliards FCFA. Les placements représentent 2 598 milliards FCFA, des commissions ont été payées aux intermédiaires pour 149 milliards de FCFA et le résultat net d’exploitation s’est établi à 85 milliards FCFA.
L’assainissement des sociétés et le renforcement de leur capacité financière et de leur solvabilité est une préoccupation très vive du Régulateur. Aujourd’hui, Toutes les sociétés en activité disposent du capital minimum réglementaire exigé et plus de 80% des sociétés couvrent leurs engagements réglementés et disposent d’une marge de solvabilité suffisante. Pour celles qui restent encore à la traine, un suivi de proximité de la Commission de Contrôle est mis en place pour les accompagner à satisfaire aux normes. Plus d’une trentaine de sociétés ont vu la totalité de leurs agréments retirés.
La cadence de règlement des sinistres s’est fortement améliorée, même si elle demeure perfectible. Les niveaux d’investissement dans les économies et dans les instruments de placement étatiques sont significatifs.
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