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Le dynamisme de l’activité bancaire est consécutif à un climat des affaires assaini et attractif. Dans le rapport Doing Business 2020, le pays s’est hissé au premier rang des pays réformateurs en Afrique et tient la troisième place mondiale.
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Avec les réformes impulsées par le Chef de l’Etat, et opérées notamment grâce à la mise en place d’une cellule dédiée au climat des affaires, le Togo offre un cadre des affaires compétitif. Les opérateurs économiques nationaux et étrangers bénéficient des avantages d’un pays sûr, stable et économiquement souple. Une autre mesure phare de cette politique volontariste d’amélioration du climat des affaires est l’opérationnalisation de l’Agence de promotion des investissements et de la zone franche (API-ZF). La thésaurisation est de plus en plus évitée, les marchés publics sont exempts des procédures complexes, les entrepreneurs sont encouragés, la création d’entreprises est devenue aisée, les politiques d’emplois de jeunes se multiplient, l’eau et l’électricité sont à des coûts abordables, l’industrialisation nationale est en plein essor et les agriculteurs sont soutenus. En 2020, les banques commerciales ont accordé un peu plus de 615 milliards FCFA de financements aux acteurs économiques, portant l’encours de crédits du secteur à plus de 1 428 milliards FCFA. Les nouveaux crédits s’inscrivent toutefois en baisse de 7% par rapport aux 662 milliards FCFA octroyés en 2019.
Quant aux crédits octroyés par les institutions de microfinance aux opérateurs économiques, ils ont crû pour atteindre 37 milliards au premier trimestre 2021, contre 36 milliards un an auparavant. Les institutions de microfinance du Togo accordent des prêts aux particuliers et aux groupes. Ces prêts sont souvent adossés à des garanties et des cautions. La clientèle se divise de façon à peu près égale entre hommes et femmes, un peu plus de la moitié des prêts (50,2%) ont été par conséquent octroyés aux femmes. Les conditions de prêts sont semblables d’une institution à l’autre.
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Il reste des zones d’ombre. Ainsi, le financement de l’agriculture par les banques togolaises est toujours faible. Sur les 9 premiers mois de 2021, l’agriculture a représenté 1,4% des montants des nouvelles mises en place de crédits bancaires. Un vrai paradoxe quand on sait que l’agriculture reste un pilier de croissance de l’économie mais toujours sous-financée.
Mais, l’agriculture n’est pas le seul parent pauvre du financement bancaire. L’artisanat sur la même période 2021, occupait 2,8% des concours globaux des banques.
Pour 2022, le Ministre de L’Economie et des Finances a formulé le vœu que des efforts soient faits en termes d’amélioration du financement des secteurs de l’agriculture et de l’habitat au Togo. Autres chantiers phares de l’économie pour l’année 2022 afin d’améliorer le volume de financement : la baisse des taux d’intérêt débiteurs pratiqués par les banques et une mobilisation plus accrue de ressources par les Petites et Moyennes Entreprises à travers le Dispositif d’accompagnement des PME. Sur les neuf premiers mois de l’année 2021, le montant total des crédits accordés par l’ensemble des banques à travers le dispositif PME est ressorti à 16 milliards de F CFA, soit 3% des nouveaux concours bancaires, contre 43 milliards de F CFA (7%) en 2020 et 36 milliards de F CFA (5%) en 2019. Il faut noter qu’en dépit des baisses enregistrées à fin septembre 2021, les taux bruts de dégradation du portefeuille de crédits des banques et des systèmes financiers décentralisés sont restés à des niveaux élevés de 15% et 8% au 30 septembre 2021.
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