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La RDC dispose d’un fort potentiel de production d’énergie hydroélectrique. Grâce à la puissance du fleuve Congo, le 2ème plus grand fleuve en termes de flux, le pays peut compter sur un potentiel hydroélectrique estimé de 100 000 MW, soit le plus élevé d’Afrique.
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Si l’énergie congolaise est aujourd’hui à 99% hydroélectrique, cette ressource, comme les autres, reste sous-exploitée. Or, le fleuve Congo avec son bassin à cheval sur l’Équateur offre à la RDC un potentiel énergétique exploitable évalué à 100 000 MW, répartis sur 780 sites situés dans 145 territoires et 76 000 villages. Ceci représente environ 37% du potentiel total africain et près de 6% du potentiel mondial. Malgré les efforts du gouvernement pour lancer des programmes de développement du secteur hydroélectrique et exploiter la puissance des nombreux fleuves du bassin du Congo, le taux d’exploitation actuel de ces ressources reste inférieur à 3%, démontrant des opportunités importantes et inexploitées.
En dépit de ce potentiel, l’industrie minière accuse à elle seule un gap de 700 MW et a dépensé plus de 600 millions de dollars en 2020 pour l’importation de l’électricité de pays voisins.
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A ce jour, sur une capacité installée d’environ 2 677 MW, la capacité de production en fonctionnement est d’environ 1 130 MW dont plus de 90% contrôlés par la Société Nationale d’Électricité (SNEL) qui peine à couvrir les besoins du pays dont le taux de desserte est de 9%. Cette fracture énergétique représente un goulot d’étranglement pour le développement du secteur minier et de l’économie dans son ensemble.
La fin des travaux de la centrale hydroélectrique de Kakobola est attendue avant fin avril 2023.
La volonté du gouvernement s’est affirmée avec la récente libéralisation du secteur d’électricité en 2020 ouvrant ainsi le marché dans le domaine de production, transport, et distribution. Un certain nombre d’opérateurs privés se concentrent dans les zones minières où la demande solvable est bien quantifiée telles que Katanga, Kivu, Kinshasa et Mbuji-Mayi, etc. En plus, la position géostratégique de la RDC et les interconnexions de ses réseaux avec SAPP (Zambie), EAPP (CPGL), PEAC (Brazzaville) permettent l’exportation de son électricité dans plusieurs pays. C’est la vision que porte le projet du barrage Grand-INGA sur le fleuve Congo à 200 kilomètres de Kinshasa.
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