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Afin de protéger le magnifique sanctuaire de la nature que représente Madagascar, une stratégie pour la conservation et le développement durable est mise en place.
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D’après les résultats d’une étude cartographique parue en 2015, Madagascar a perdu 965 000 hectares de forêts entre 2005 à 2013, soit environ 120 000 hectares par an entre 2010 et 2013. Les causes en sont multiples : l’élevage, les mines, les feux de forêts et en particulier le tavy, l’agriculture sur brûlis, ainsi que l’exploitation commerciale de bois précieux mais aussi utilisé pour la production d’énergie et la construction. Le reboisement est donc incontournable pour satisfaire les demandes nationales en bois forestiers, qui ont explosé avec la démographie. L’exportation de bois ordinaires légaux, non travaillés, a été interdite lors du conseil des ministres du 21 octobre 2020. Il est cependant possible de vendre et d’utiliser les stocks de bois légaux pour mieux organiser le secteur de bois. Uniquement les produits finis peuvent être exportés après un contrôle strict.
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La suspension de la coupe pour les bois précieux est en vigueur depuis janvier 2019. L’exécutif a renforcé la protection des forêts pour éviter la coupe et l’exploitation illicite. Il en est de même sur l’augmentation de surface cultivée en bois pour atteindre l’objectif de la reforestation de Madagascar. Les feux de forêt sont également un grave problème puisque leur lutte est rendue difficile par le fait que Madagascar ne dispose que d’un agent forestier pour 210 000 hectares de forêts.
Madagascar est un des pays où la gestion de l’environnement et le développement durable ont été au centre des politiques publiques impulsées et appuyées par les bailleurs de fonds, depuis le premier plan national pour l’environnement du début des années 1990. Ayant ratifié la Convention sur la biodiversité biologique (CDB), la Grande île a mis aussitôt l’accent sur la valorisation et la gestion durable de ses ressources naturelles, longtemps surexploitées. L’application de cette Convention se reflète à travers la prise en compte de la biodiversité comme source de financement durable pour le développement local, à la fois dans le Plan national d’action pour l’environnement (PNAE) et dans le Document stratégique de réduction de la pauvreté (DSRP), mais aussi dans les Plans communaux de développement (PCD) ou dans les priorités institutionnelles des bailleurs de fonds. Dans cette perspective, le pays a été pionnier, avec la loi GELOSE de 1996, en matière de transfert de responsabilité aux populations dans la gestion des actifs environnementaux, par exemple, et a donc accumulé une expérience non négligeable.
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