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Vu le potentiel de développement considérable au regard des ressources du sous-sol local, l’industrie minière pourrait jouer un rôle déterminant dans l’atteinte des objectifs d’émergence.
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La dynamisation de la pratique des partenariats publics privés (PPP) devrait favoriser la diversification d’une économie congolaise restée trop longtemps tributaire de la seule rente pétrolière. Elle pourrait notamment donner un coup d’accélérateur à la mise en valeur du potentiel minier du pays. Le sous-sol congolais dispose d’un potentiel de plusieurs milliards de tonnes de réserves de fer, dont 517 millions pour le seul méga-gisement du mont Nabemba et d’importants gisements de cuivre, dont l’exploitation requiert des investissements lourds, désormais rendus envisageables par la nouvelle loi du 30 décembre 2022 sur les PPP.
Le Code minier du Congo, finalisé en 2005, établit un cadre réglementaire attractif pour les entreprises souhaitant mener des opérations minières dans le pays. Le Code propose quatre types de titres miniers, à savoir l’autorisation de prospection; le permis de recherches ; l’autorisation d’exploitation industrielle ; et le permis d’exploitation. Le gouvernement congolais fournit donc à la fois l’infrastructure adéquate et un cadre réglementaire attrayant pour les investisseurs régionaux et internationaux souhaitant y investir.
Par exemple, la potasse de Sintoukola a le potentiel de transformer le secteur minier du Congo en participant à la diversification d’une économie congolaise. Le district de Sintoukola est un bassin de potasse d’importance mondiale en République du Congo, avec des gisements à très haute teneur et à faible profondeur situés à proximité de la côte. D’après l’étude de faisabilité datant de 2019, le projet peut générer des revenus annuels de 773 millions de dollars. Appuyée par le fonds public d’Oman et le chilien SQM, l’entreprise britannique Kore Potash Plc, centrée sur le développement des phosphates congolais et sa mine de Kola, a signé un contrat en juin 2022 avec son nouveau partenaire, l’entreprise chinoise de travaux Sepco, filiale de PowerChina, pour la construction de Kola.
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La première usine de polymétaux a été inaugurée en 2019 dans la région de la Bouenza, au sud du pays. Issue de capitaux chinois, elle produit 20 000 tonnes de cuivre par an, destiné essentiellement à l’exportation. Dans un proche avenir, cette usine produira également du zinc et du plomb.
Deux conventions pour l’exploitation du gisement de fer d’Avima, Badondo et Nabemba, ont été signées en mars 2021, entre le gouvernement et la société minière Sangha Mining Development. La perspective d’exportation est prévue en 2023 pour une production annuelle de plus de 100 millions de tonnes de minerais de fer. La société minière devrait également construire des infrastructures connexes, une ligne de chemin de fer Sangha-Kouilou, un port minéralier et des installations énergétiques.
Les autorités du Congo-Brazzaville projettent la construction d’un réseau ferroviaire Nord-sud de 1 000 km pour faciliter l’évacuation de la production du minerai de fer via le port minéralier de Pointe-Noire.
Le gouvernement de la République du Congo a décidé en janvier 2023 de suspendre l’exploitation artisanale des polymétaux sur toute l’étendue du territoire national.
Cette mesure vise à sécuriser les investissements de la Société de recherche et d’exploitation minière (SOREMI) du Congo, dont le périmètre minier dans le sud du pays est envahi par des exploitants miniers artisanaux. Ces exploitants miniers artisanaux, dont des ressortissants étrangers, exploitent illégalement sur les sites de la SOREMI. La SOREMI opère dans le district de Mfouati, dans le département de la Bouenza (au sud du pays), où elle exploite des polymétaux, à savoir le zinc, le cuivre et le plomb
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