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La jeune population camerounaise est à même de fournir une abondante main d’œuvre de qualité, représentant l’un des potentiels les plus importants pour une industrialisation à forte intensité avec des coûts de production compétitifs.
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Pour réduire les disparités infrastructurelles dans l’enseignement supérieur entre les régions, le président camerounais a décidé de la création de trois nouvelles universités d’Etat. Les régions de l’Est, du Nord et du Sud auront bientôt chacune leur université d’Etat. Avec ces trois nouveaux établissements, le Cameroun porte à 11 le nombre total de ses universités d’Etat, soit une dans chaque région à l’exception de la région du centre qui en compte deux à savoir, l’université de Yaoundé I et l’université de Yaoundé II. Seront opérationnels pour la rentrée 2023, la faculté de médecine/sciences biomédicales les nouvelles Universités d’Ebolowa (Sangmélima) et un Institut supérieur du bois, de l’eau, de l’environnement et de l’agriculture à Bertoua (Bélabo).
Le Projet de développement de l’enseignement secondaire et des qualifications s’inscrit dans la ligne de la stratégie gouvernementale pour le secteur de l’éducation 2021-2030. Dans le secteur de l’éducation et de la formation, le Gouvernement se donne comme vision de promouvoir un système éducatif à l’issu duquel tout jeune diplômé est sociologiquement intégré, bilingue, compétent dans un domaine capital pour le développement du pays.
Les objectifs stratégiques poursuivis sont : garantir l’accès à l’éducation primaire à tous les enfants en âge de scolarisation ; atteindre un taux d’achèvement de 100% au niveau primaire ; réduire les disparités régionales en termes d’infrastructures scolaires et de personnel enseignant ; et accroître l’offre de formation professionnelle et technique de 10 à 25% au secondaire et de 18% à 35% au niveau supérieur.
Au Cameroun, la main d’œuvre est nombreuse mais insuffisamment employée et les disparités entre villes et campagnes perdurent. Aussi, les pouvoirs publics entendent, grâce à l’approche haute intensité de main d’œuvre (HIMO), créer environ 100 000 emplois dans le pays entre 2020 et 2025, dans le cadre du programme national intégré d’aménagement des Collectivités Territoriales Décentralisées (CTD).
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La demande en emplois durables et décents croit en effet de jour en jour. Aussi bien le secteur public que le secteur privé sont appelés à trouver des mécanismes pour multiplier le nombre d’emplois. 287 690 emplois est le nombre d’emplois à créer en 2022 selon le Bureau international du travail (BIT). Cette prévision est le résultat d’une étude réalisée par le gouvernement avec l’appui du BIT. On envisage ainsi d’une projection de recrutement de 18 210 cadres, 60 000 techniciens et 208 674 ouvriers. Selon la note de conjoncture de l’Observatoire National de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (ONEFOP) présentée en juin 2022, on assiste à une croissance réelle du nombre d’emplois décents au Cameroun.
40% de la main d’œuvre camerounaise hautement qualifiée travaille à l’étranger
Économie la plus diversifiée d’Afrique centrale, le Cameroun connaît une croissance régulière depuis dix ans et vise le statut de pays émergent pour 2035. Pour cela, le gouvernement a lancé un ambitieux programme afin de dynamiser l’économie et favoriser la création d’emplois.La création d’instituts de formation en alternance pour le développement (IFAD) est née de la volonté du Chef de l’Etat de donner les moyens et les outils à la jeunesse togolaise de pouvoir accompagner le développement du pays. Dix sont prévus sur l’ensemble du territoire national. Un premier IFAD-Elevage a vu le jour en 2019 à Elavagnon dans les plateaux dédié aux métiers de l’aquaculture. Le second établissement dédié aux métiers du bâtiment et des énergies renouvelables a été inauguré en avril 2021 à Adidogomé dans la banlieue nord-ouest de Lomé. Il est composé d’une vingtaine de salles de cours connectées au haut débit et alimentées par une minicentrale solaire. L’ambition est de réformer substantiellement la formation professionnelle afin que l’insertion des diplômes soit plus aisée. En effet, avec les IFAD, le Partenariat Public-Privé est une réalité dans le système éducatif. Selon le principe de l’alternance, la formation est assurée mi-temps à l’IFAD entre les cours et les ateliers, et mi-temps en entreprise. Grâce à un suivi individualisé et des cours dynamiques et interactifs, l’apprenant est une ressource humaine qualifiée prête à s’engager dans l’emploi. Afin d’accélérer le développement national, certains secteurs ont été identifiés comme prioritaires : l’aquaculture, l’élevage, le bâtiment, l’hôtellerie, la logistique ou encore le numérique.
L’enseignement supérieur privé a été libéralisé au Togo favorisant ainsi l’émergence des Ecoles Privées d’Enseignement Supérieur, partenaires de l’Etat dans la formation en vue de parer à la massification des étudiants dans les universités publiques.
Le Togo s’est doté d’une politique nationale de la recherche et de l’innovation, qui couvre une période de 10 ans (2020-2030), sous le pilotage du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Cette nouvelle politique veut notamment pallier les faiblesses du pays en matière de recherche, et définir ses grandes orientations, en prenant notamment en compte ses ambitions économiques et de développement, en lien notamment avec le PND. Il s’agit surtout de répondre au challenge du financement, en rehaussant à terme la part du PIB national consacrée à la recherche.
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