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Le projet Central Africa Backbone (CAB) vise à connecter les pays de la Communauté économique des États d’Afrique centrale (CEEAC) via des infrastructures télécoms à haut débit. Dans ce cadre, la Centrafrique doit s’interconnecter au Cameroun et au Congo, le Cameroun, quant à lui, au Congo, au Gabon, au Tchad et à la République centrafricaine.
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Le Cameroun est au centre du CAB pour, à la fois, fournir les liaisons de télécommunications indispensables entre les États de l’Afrique centrale, assurer leur raccordement au réseau à fibre optique mondial et permettre ainsi la mise à disposition de l’Internet haut débit au plus grand nombre en se dépendant au moindre coût à la station terminale du câble sous-marin intercontinental SAT-3 située dans la capitale économique Douala.
La même extension concerne les 10 pays de la Communauté économique de l’Afrique centrale (CEEAC). Le prolongement du réseau de N’Djamena, jusqu’à la frontière soudanaise à Adré devra permettre de le connecter au réseau en fibre optique soudanais pour s’interconnecter aux câbles sous-marins East African (EASSY). Ce maillon du grand réseau TAB (Transfrican Backbone), grâce à une interconnexion entre Douala et Port-Soudan, permettra d’écouler une partie du trafic international de l’Asie vers les Amériques et vice versa.
Les travaux d’interconnexion proprement dits c’est à dire les chantiers initiés dans le cadre de l’interconnexion par fibre optique entre le Gabon, le Congo, et le Tchad sont entièrement finalisés et fonctionnels. En novembre 2019, le Gabon et le Cameroun avaient signé un mémorandum d’entente pour l’interconnexion de leurs réseaux de télécommunications haut débit à fibre optique. Cette interconnexion est rendue possible grâce au déploiement au Gabon d’un réseau de fibre optique d’une longueur de 411 km (Booue-Bitam-Eboro/Meyo-Kye) avec l’appui de la Banque mondiale. En plus de l’interconnexion avec le CAB1 (Cameroun, RCA et Tchad) par Eboro, cette dorsale permettra également une interconnexion avec la Guinée Équatoriale par Meyo-Kie de l’Extrême nord du Gabon à la frontière avec le Cameroun.
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Dès août 2020, les gouvernements congolais et camerounais avaient lancé les travaux d’interconnexion à fibre optique près de leur frontière sur environ 350 kilomètres. Réceptionnés en mai 2022, ces travaux ont été réalisés dans le cadre du projet Central Africa Backbone (CAB), financé par la Banque africaine de développement (BAD), qui vise à relier à la fibre optique les pays de la CEMAC.
Le Cameroun et la République centrafricaine (RCA) finalise l’interconnexion de leurs réseaux de communications par fibre optique dans le cadre du projet Central Africa Backbone (CAB).
La coopération entre les deux pays porte notamment sur les aspects techniques, économiques et juridiques de l’interconnexion physique des réseaux de communications électroniques des deux pays d’Afrique centrale. Elle porte également sur la coordination des capacités pour l’acheminement du trafic entre les réseaux, l’offre mutuelle des voies de restauration pour la sécurisation des communications des réseaux, ainsi que la baisse des coûts et des tarifs des services de communications électroniques.
L’interconnexion contribuera à une plus grande inclusion numérique en RCA et au Cameroun. Elle devrait également permettre de réduire la fracture numérique entre les zones frontalières des deux pays ce qui permettra aux populations d’accéder à des services télécoms de qualité et à des coûts plus abordables. En outre, l’interconnexion donnera aux pays de la CEEAC une autonomie en matière d’infrastructures télécoms.
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