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Avec l’adoption et la mise en œuvre de sa Stratégie nationale de Développement 2020-2030, le Cameroun réitère son engagement en faveur de la mise en œuvre de l’Agenda 2030 des Nations Unies et s’inscrit résolument dans une démarche d’amélioration continue pour l’atteinte des ODD.
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Le gouvernement ne ménage aucun effort pour remédier à l’ensemble des défis inhérents à la mise en œuvre des ODD. Dans le domaine de l’environnement, les efforts ont permis des progrès significatifs même s’ils sont encore insuffisants : augmentation des surfaces forestières et aires protégées aménagées et l’intégration de la protection des écosystèmes et de la biodiversité dans les cadres nationaux de développement.Les initiatives gouvernementales doivent être accompagnées par les entreprises, les partenaires au développement, les organisations non gouvernementales et chaque citoyen afin de mettre pleinement en œuvre une stratégie ambitieuse vers un nouveau modèle pour renforcer la résilience de l’économie et parvenir à une durabilité économique, sociale et environnementale.
Du point de vue de la conservation et de l’exploitation durable des océans, des mers et des ressources marines aux fins du développement durable, les ressources océaniques, marines et côtières constituent un patrimoine naturel important et indispensable pour le Cameroun. En effet, situé dans le Golfe de Guinée, le pays dispose d’une surface maritime de 14 400 km2 et de 414 km de côtes. Au cours de ces dernières années, un volume important de déchets de différents types a été géré de manière écologique, en vue de réduire la pollution marine qui émane en partie des activités terrestres.En outre, dans le cadre de la promotion de la conservation et de la restauration des écosystèmes marins et côtiers, le gouvernement a réalisé la production et transplantation de 100 000 plants de palétuviers en 2017, 21 000 en 2020 et 4 000 en 2021. De même, face aux dangers environnementaux liés à l’acidification des océans ainsi que de l’augmentation du niveau des mers et des océans, le Cameroun s’efforce de maintenir les grands équilibres environnementaux, à travers notamment le contrôle des Organismes Vivants Modifiés (OVM) et autres Espèces Exotiques Envahissantes qui contribuent à l’eutrophisation des milieux aquatiques. Ces résultats ont été renforcés sur le plan réglementaires avec l’adhésion du Cameroun à la Convention Internationale pour le contrôle et la gestion des eaux de ballast et sédiments des navires ; la signature de 3 arrêtés en matière de gestion des PCB et l’homologation par l’Agence des Normes et de la Qualité (ANOR) d’une série de 35 normes environnementales.
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En ce qui concerne la préservation et la restauration des écosystèmes terrestres, le gouvernement s’est donné pour objectif la prise en compte systématique des préoccupations liées à l’environnement et la protection de la nature dans les politiques publiques de développement. Ainsi, on note une évolution positive de la superficie totale des forêts aménagées qui est passée de 6 263 838 hectares en 2018 à 6 530 489 hectares en 2020 ; l’accroissement des aires protégées dotées d’un plan d’aménagement/gestion de 6 415 856 hectares en 2018 à 6 461 273 hectares en 2020. Les cibles envisagées pour les horizons 2025 et 2030 sont respectivement de 6 682 360 hectares et de 6 903 448 hectares et l’augmentation de la superficie totale des aires protégées de 9 716 163 hectares en 2019 à 9 728 871 hectares en 2020, soit 20,46% du territoire national. Cela a été rendu possible grâce à un environnement institutionnel favorable avec entre autres la création par décret du 7 janvier 2020 du Parc national de Ma Mbed dans la région de l’Extrême-Nord.
Le défis à relever concerne l’identification et la mobilisation des opportunités de ressources d’aide au développement dédiées à la mise en œuvre des ODD ; la mobilisation des ressources du secteur privé national et international grâce notamment à la sensibilisation du secteur privé afin qu’une partie des ressources affectées à la responsabilité sociétale des entreprises soit utilisée pour la mise en œuvre des ODD et une mobilisation plus accrue des ressources du partenariat public privé pour la mise en place des infrastructures structurantes et la poursuite des réflexions engagées sur le développement des mécanismes de financements innovants. Enfin, la question des moyens non financiers se pose en termes de challenge. Il s’agit du renforcement de l’accès à la science, à la technologie et à l’innovation à travers la coopération Nord-Sud, Sud-Sud ou triangulaire régionale et internationale dans ces domaines et améliorer le partage des savoirs selon des modalités arrêtées d’un commun accord, notamment en coordonnant mieux les mécanismes existants.
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