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Le Cameroun possède de nombreux fleuves et lacs où il est possible de promouvoir le transport fluvial et lacustre qui constitue un enjeu essentiel pour résorber le déficit observé dans l’offre des infrastructures de transport au Cameroun.
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Le Cameroun est un pays navigable sur plusieurs kilomètres. Selon une étude de l’Autorité portuaire nationale, 8 cours d’eau navigables y ont été identifiés. Il s’agit du fleuve Wouri sur un linéaire de 67 kilomètres sur le tronçon Douala –Yabassi ; du fleuve Nyong sur le tronçon Abong Mbang – Mbalmayo sur un linéaire de 275 km ; de la Sanaga sur le tronçon Édéa-océan atlantique sur environ 60 kilomètres ; du fleuve Benoué, depuis le barrage de Lagdo jusqu’à la frontière avec le Nigéria, soit 140 km de rivière ; du Dja, sur le tronçon Ndongo/Moloundou sur 116 km ; de la Ngoko partant de Ndongo jusqu’à la frontière avec la République du Congo ; de la Sangha, allant de Libongo à la frontière avec le Congo – La Benoué sur le tronçon navigable après aménagement du port de Garoua jusqu’à la frontière avec le Nigéria soit 80 km. Ce réseau hydrologique est un énorme avantage pour le Cameroun.
Le transport fluvial offre de multiples avantages économiques, sociaux et environnementaux. Il s’agit de poser les bases d’une ère nouvelle en matière de transport fluvial et lacustre pour bâtir une approche multimodale. Il se fait en grande partie avec des pirogues artisanales et des navigants formés sur le tas. Le ministère des Transports souhaite organiser un examen de capacité en conduite de pirogue à moteur avec pour objectif de renforcer les compétences des piroguiers et, à court terme, d’assainir ce secteur d’activités et créer des emplois.
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Sur la rivière Bénoué, Garoua est l’un des rares ports fluviaux au Cameroun. Construit à l’époque coloniale pour désenclaver le Nord du Cameroun, il assurait les échanges avec le Nigeria, grâce à l’exportation de coton et d’arachides et l’importation de produits pétroliers. A l’exception d’une forte activité de contrebande, les activités de ce port sont quasiment nulles depuis 2015. Le projet de réhabilitation du port de Garoua a été relancé en octobre 2022. De par sa proximité avec le Nigéria, première économie du continent, le Cameroun dispose des atouts portuaires dont la valorisation et la redynamisation de ses infrastructures pourront lui permettre de booster son économie.
En juillet 2021, a été lancé le Projet d’appui à la réglementation, la facilitation, la sécurisation et la durabilité du transport fluvial dans l’espace de la Commission internationale du Bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS). Financé à hauteur de 2 millions d’Euros par l’Union européenne, ce projet s’inscrit dans le cadre du 11èmeFonds européen de Développement (FED) du Programme d’appui à la gouvernance des infrastructures régionales et nationales en Afrique centrale (PAGIRN). Etendu sur une période d’exécution de 3 ans, il vise à accompagner les Etats membres de la CICOS (Angola, Cameroun, Centrafrique, RDC, Gabon et Congo) afin qu’ils puissent faire face aux entraves à la navigation ainsi qu’à la pollution actuelle des voies d’eau dans le bassin du Congo.
En vue de favoriser l’émergence d’un transport fluvial réglementé et durable, une stratégie a également été développée par les Gouvernements des pays membres de la CEEAC. Les divers diagnostics réalisés sur les principaux cours d’eau des pays de la CEEAC – dont le Cameroun – et leurs affluents ont mis en relief plusieurs contraintes qui influent négativement sur le développement du transport fluvial, particulièrement la vétusté des infrastructures et l’absence de services, une offre dominée par l’informel ou l’absence de sécurité et de sûreté.
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