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Instruite depuis 2015 par le Chef de l’Etat, la Couverture santé universelle (CSU) est entrée le 12 avril 2023 officiellement dans sa phase 1. Les Camerounais en possession d’une Carte de Santé Universelle auront droit à terme gratuitement à des soins préventifs et des services essentiels de santé.
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De la conception à la matérialisation, la phase 1 de la CSU est aujourd’hui l’une des plus fortes révolutions sociopolitiques à l’actif du gouvernement camerounais.
Sa savante implémentation devrait permettre de réduire considérablement les inégalités par rapport à l’accès aux soins, tout en garantissant la dignité des patients. Même les couches les plus vulnérables pourront désormais et à moindre coût, bénéficier d’une prise en charge de très bonne qualité dans des délais raisonnables, d’ici 2030. La mise en route de la CSU est donc une étape décisive.
Du fait de l’absence de couverture de santé universelle, les ménages camerounais supportent près de 75% leur prise en charge. En vue de contribuer au développement d’un capital humain sain, productif et capable de porter une croissance forte, inclusive et durable, les autorités entendent garantir à toutes les couches de la population, un accès équitable et universel aux services et soins de santé de base et aux soins spécialisés prioritaires de qualité.
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La Couverture Santé Universelle dans sa phase 1 a pour cible privilégiée les enfants de moins de 5 ans, les femmes enceintes et les personnes de tout âge souffrant des pathologies comme l’insuffisance rénale, la tuberculose, le VIH. Le panier de soins quant à lui couvre les aspects préventifs, promotionnels et curatifs. Cette assiette va aller s’élargissant pour, à l’horizon 2030, prendre en compte toute la population. Les analystes du think-tank Camercap ont estimé à 1 400 milliards de FCFA les ressources nécessaires au financement de la CSU. La ventilation de cette enveloppe fait appel aux concours de l’État à hauteur de 1 000 milliards, 350 – soit un tiers – pour les ménages au travers des cotisations, tandis que les promesses des bailleurs se chiffrent à 50 milliards FCFA. En dehors des cotisations directes des individus, des ressources additionnelles devraient être trouvées à travers des niches de financement à même d’apporter un souffle nouveau pour financer la contribution attendue de l’État. Ainsi, se posent comme approches innovantes de financement de la CSU : les transferts sociaux et le programme de filets sociaux dont le programme de transferts monétaires ordinaires directs sans condition doté de mesures d’accompagnement ; le programme de transferts monétaires d’urgence, le programme de transferts monétaires d’urgence Covid-19 ou encore le programme de travaux publics à haute intensité de main d’œuvre. Ces instruments institutionnels peuvent être actionnés avec une restructuration permettant d’optimiser la contribution de l’Etat.
Depuis 1993, la loi camerounaise exige que les établissements publics fournissant des soins médicaux primaires, versent 10% de leurs recettes mensuelles au Fonds de Solidarité pour la Santé. Ce fonds, qui devrait relever de la responsabilité du ministère de la Santé publique, doit faire l’objet de plus de traçabilité pour une efficacité en termes de contribution à l’objectif de la CSU.
Il convient parallèlement de sécuriser les revenus agricoles pour abriter les populations rurales de la précarité, de s’orienter vers la prévention et les amendes pour les infractions routières, d’instaurer des taxes sur l’alcool et le tabac et de renforcer l’hygiène, la salubrité des habitations.
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