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Pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure, le Cameroun déploie un tissu d’infrastructures hospitalières par phases successives. Cette dynamique d’investissements se retrouve également le secteur privé.
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La première phase de 2000 à 2020 visait à développer le maillage du territoire en créant des infrastructures de premier contact. Désormais, l’Etat se concentre sur la modernisation des établissements de villes en s’appuyant sur la télémédecine pour essaimer dans les territoires plus reculés mais aussi sur l’adaptation de l’offre aux maladies non infectieuses.
En effet, si les maladies cardiovasculaires et le cancer représentent aujourd’hui 43% des pathologies identifiées et le plus grand facteur de mortalité dans le pays, elles sont sous-représentées en termes de consultations hospitalières : seulement 38%. D’où une enveloppe conséquente de 5,6 milliards d’euros prévue par l’Etat camerounais entre 2021 et 2025, détenteur de 70% des établissements de santé.
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Déjà, 5,41 milliards avaient été investi entre 2016 et 2021. Si deux tiers des investissements dépendent de l’Etat, le secteur privé n’est pas resté inactif ces dernières années, avec plus d’une centaine de cliniques indépendantes créées entre 2010 et 2018. Ces ouvertures de cliniques sont en grande partie le fait de quelques groupes historiquement associés à des organisations religieuses, à l’exemple du groupe AdLucem avec une nouvelle clinique de 150 lits à Mfou dans la banlieue de Yaoundé et qui va lancer en 2023 un autre projet de CHU à Olémbé spécialisé dans l’oncologie et la cardiologie. Dans l’ensemble, les encours d’investissements privés sur la période 2020-2025 sont estimés autour de 300 millions d’euros.
Toutefois, l’implication du secteur privé dans le développement du secteur de la santé s’étend bien au-delà des montants et projets susmentionnés. En effet, environ un quart des 5,6 milliards d’euros du plan public en cours, soit 1,5 milliard d’euros, devrait faire appel à du financement privé dans le cadre de partenariats publics-privés.
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