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En RDC, le potentiel agricole est l’un des plus importants de la planète. L’agriculture, d’après plusieurs experts, fait partie des meilleures possibilités de diversification de l’économie nationale.
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D’après la Banque africaine de développement (BAD), la République démocratique du Congo (RDC) exploite actuellement 8 millions d’hectares de terres arables, soit 10% de son potentiel qui est le second plus important de la planète après celui du Brésil.
Aussi, le Président de la République Félix Tshisekedi a appelé le gouvernement à apporter le soutien pour l’émergence de ce secteur. Il appelle à impulser et à coordonner la transformation des atouts naturels dont regorge le pays tels que la disponibilité de 80 millions d’hectares de terre arables, une démographie dense et l’expérience avérée dans la production du riz, du manioc, pommes de terre, maïs, dans certains territoires. A titre d’exemple, à partir de 2023, les achats des produits alimentaires du gouvernement ainsi que ceux de la Présidence de la République devront se tourner vers les produits agricoles issus de la production locale.
En RDC, plus de 50% de la production de fruits et de légumes est perdue en raison d’une chaîne de valeur déficiente, notamment en matière de stockage et de transport. L’offre ne rencontre pas la demande pourtant abondante. Pour réhabiliter l’agriculture, il convient d’investir au préalable dans l’électricité et les routes ou voies d’évacuation, seule façon de booster l’industrie agropastorale et créer des emplois pour les jeunes.
Dans la vision de créer un secteur agricole transformé, générateur des richesses et créateur d’emplois, le Président Tshisekedi a initié un programme dénommé l’Agenda de la Transformation Agricole (ATA-RDC). Ce programme prend en compte un grand nombre d’aspects en termes de chaînes de valeurs des cultures vivrières et pérennes, mais aussi en termes d’infrastructures. Ce programme sera mis en œuvre par l’institution internationale d’agriculture tropicale (IITA). Le démarrage des activités se déroulera en plusieurs phases dont la première couvre la période 2022-2023.
Concrètement, ce programme s’articule autour des axes prioritaires permettant d’avoir un impact rapide, à savoir la relance de la filière semencière des spéculations du manioc, maïs, riz, soja et haricot ainsi que le renforcement des capacités des régies agricoles mis en place par le programme volontariste agricole (PVA) sous sa coordination, géré par l’entreprise Bio Agro-Business (BAB).
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En ligne de mire de ce programme se trouve : l’exécution du projet de développement des 145 territoires (PDL-145T), les efforts de plaidoyer et de promotion de la farine panifiable dans la boulangerie et la pâtisserie par la cellule d’appui au programme d’urgence intégré de développement (CAPUIDC), le projet de la gestion et de la lutte contre la striure brune financé par l’USAID pour le développement des variétés saines de manioc, tolérantes et résistantes à la maladie de la striure brune de manioc présente en RDC, le projet intégré de croissance agricole dans les grands-lacs (PICAGL) financé par la Banque mondiale, dont l’objectif est d’augmenter la productivité agricole dans la zone Est du pays qui a porté les stigmates des guerres et d’améliorer l’intégration régionale agricole entre la RDC et le Burundi ; le projet d’entrepreneuriat des jeunes en agrobusiness (PEJAB) financé par la Banque africaine de Développement, les interventions dans la prévention et la lutte contre la chenille légionnaire attaquant le maïs avec les ressources financières de l’USAID, le projet régional SISCA, financé par le FIDA, dont la RDC est parmi les 3 pays-bénéficiaires, qui opère dans le renforcement d’un partenariat public-privé d’approvisionnement en semences de qualité à petit prix.
D’autres projets sont en attente de démarrage tels que : le programme national de développement agricole (PNDA) financé par la Banque mondiale dont l’objectif est de réduire la pauvreté rurale tout en rétablissant et modernisant les systèmes de production agricole et de mobiliser des investissements importants dans le secteur agricole, la lutte contre les maladies de nécroses du manioc, la transformation et la commercialisation des produits agricoles considérant les femmes et les jeunes comme cibles prioritaires sont également inscrits dans cet agenda.
Pour l’exercice 2022, les crédits prévus en faveur du secteur de l’agriculture sont chiffrés à plus de 684,6 milliards de CDF soit 342,3 millions de dollars.
Un laboratoire en biotechnologie agricole à Kalambo
Située dans l’Est de la République Démocratique du Congo, à 15 Kilomètres de la ville de Bukavu, la station de Kalambo se spécialise dans la transformation des maniocs en plusieurs dérivés comme des biscuits et des gâteaux. Afin de promouvoir la consommation locale et d’assurer la sécurité alimentaire, un laboratoire en biotechnologie agricole y a été construit et a été inauguré en 2019. Ce laboratoire de l’Institut International d’Agriculture Tropicale (IIAT), le deuxième laboratoire de ce type en Afrique après celui du Nigéria, diagnostique les problèmes qui impactent les cultures incluant le manioc, les bananes, le maïs et le soja, pour trouver des solutions.
En outre, le but de la création de ce laboratoire est d’apporter un soutien aux initiatives locales et gouvernementales. En effet, le projet PICA et la Banque mondiale ont joué un rôle d’assistant technique dans ce projet. Ces deux institutions vont travailler avec le gouvernement, avec l’INERA (Institut national pour l’étude et la recherche agronomique), avec le SENASEM (Service national des semences) pour assister et engager les meilleures technologies, les meilleures semences, les meilleures pratiques agricoles adéquates avec les bénéficiaires. Enfin, des partenariats sont noués pour offrir des formations théoriques et pratiques aux cadres congolais.
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